Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Coucou les gens. Voici le chapitre 1 de ma nouvelle
fic. Bonne lecture.
La surprise des choses nouvelles et les rayons de soleil éblouissant des yeux émerveillé par l'astre jaune et lumineux, La couleur d'un bonbon acidulé plus que sa saveur et l'alliance d'un goût
et d'une apparence fruité.
Tant d'événement présents dans toute vie mais raté pour le garçon qui, ne sachant ou poser ses yeux vains, laisse vagabonder le souffle de sa vie autour de lui, comme une douce brise d'été parcourant ses oreilles réactives.
Le 14 juillet 1988 marque la fin de l'adolescence de Lou, tout est simple quand on a 15 ans, simple d'imaginer les regards que l'on ressens, facile de projeter dans son esprit l'apparence d'un son...Les éclats des feux invisible qui comble son mental comme un virus qu'on ne peut irradier, comme ses larmes qui s'écoulent alors que le monde sourit sous la splendeur du 8ème feux d'artifice que le monde ai connu.
15 ans et une vie dans le noir. La perspective de ces années qui l'attendent encore le glace et c'est triste que chaque jours, seul, il vit dans sa bulle, dans sa tête fatigué de trop d'invention.
Non, rien n'est simple, et ce trou noir qui le dévore de plus en plus le terrifie.
Il a chaud et c'est sans une attention pour ceux qui devraient le soutenir qu'il s'éclipse. Le monde, qui pourtant possède une vision aigu de la beauté et d'un entourage qui semble figé, ne le vois pas, l'ignore peut importe qu'il bouscule pour se frayer un chemin au travers de la jungle féroce de gens qui s'agglutinent autours d'un autel de feu illuminé.
Dans sa tête, il contemple les vision factice de ses odeur et de ses sensations...Rire ou pleurer en humant le fruité d'une pomme d'amour que deux amoureux semblent partager sous leurs murmure que lui seul entend.
Il repense à sa mère, certainement encore émerveillé devant un spectacle jubilatoire et de ses trahisons chaque années à le traîner à ces manifestations qui le troublent, le tuent un peu, le frustrent car, il n'y à rien de plus triste qu'un être privé de beauté.
-Lou...Ou vas-tu?
Cette voix qu'il a apprit à reconnaître et qui le terrifie plus que ce qu'il l'entoure, plus que l'inconnu.
-Je suis fatigué maman, et j'ai chaud...
-C'est cela, rentre seul et perds toi que je puisse enfin vivre sans le fardeau d'un fils inutile. Je pourrais peut-être me remarier sans toi...tu fais fuir les hommes que, malgré mon age, j'arrive à charmer. Ne compte pas sur moi pour te ramener à la maison, débrouille toi.
Et ses pas qui s'éloigne d'un fils ébahi par tant de haine et de mépris...Lou,et ses larmes invisibles, celles qu'il ne montre plus. Il prend la direction opposé de la voix, parce que rien ne peut être pire que cette envie de mourir à chaque fois que celle qui lui a donné la vie le meurtrie.
1988 et les cris, la vie qui le pousse vers les rues aussi sombres que son esprit, aussi humides que ses yeux pâles.
-Je ne rentrerai pas...
Au-delà de ses pieds qui le portent, les vitrines des magasins qui borde la route lui renvoie une image qu'il ne voit pas.
De longs cheveux châtains noués en catogan sur la nuque par un ruban rouge un peu sale, le même depuis des années. Sa longue silhouette androgyne souligné par un ensemble en lin blanc dont la chemise mal boutonné, laisse apercevoir un torse glabre et luisant de quelques gouttes de sueur redessinant les courbes de ses mamelons brunit par le soleil. Son visage angélique semble sortir tout droit d'un rêve tant ses traits fins et délicats rappel l'alliance de féminité et de l'homme qu'il est devenu. Ses yeux translucide, bien que morts, paraissent avoir cueilli les eaux magnifiques et clairs de l'Océan Indien.
Pourtant, Lou ne semble pas reconnaître les regard d'envie qu'il suscite à chacun de ses passages et c'est sans comprendre vraiment l'homme et ses vices, avec toute la naïveté de l'enfant perdu qui sommeille encore en lui, qu'il s'aventure dans les rues mal famés reculé.
Ses pas résonnent et quelques rats fuient en entrant au contact de sa canne. Pourtant, sans l'ombre d'une quelconque peur, il marche encore, ne sachant pourtant pas ou la vie l'emmène, il marche juste pour oublier, pour mourir ou pour vivre.
Derniers Commentaires